• Crise ou récession
    Débat intéressant mais relativement long, donc la vidéo ne passe pas, c'est pourquoi j'ai mis le lien.
    A voir surtout le scénario économique pour comparer , etc...

     


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  • Vendredi dernier, le directeur général adjoint du Fonds monétaire international (FMI), John Lipsky, annonçait que l'organisme international allait probablement réviser à la hausse sa prévision de croissance de l'économie mondiale pour 2010, le recul de la production mondiale montrant des signes de modération. Lueur d'espoir, immédiatement démentie par la douche froide, dimanche soir, dans le rapport Global Development Finance 2009 de <st1:personname productid="la Banque" w:st="on">la Banque</st1:personname> mondiale qui annonce une amplification de la récession en 2009 : une révision à la baisse de ses prévisions pour le PIB mondial avec une contraction de 2,9% ! Le corollaire important pour <st1:personname productid="la Banque" w:st="on">la Banque</st1:personname> mondiale réside dans une montée inexorable de la pauvreté dans le monde liée à une chute « vertigineuse » de l'investissement dans les économies en développement. Alors, même si <st1:personname productid="la Banque" w:st="on">la Banque</st1:personname> mondiale annonce que le PIB mondial devrait rebondir de 2% en 2010 et de 3,2% en 2011 - après avoir enregistré une contraction de 2,9% en 2009 -, nous restons sous le coup de massue de ce dernier chiffre qui annonce la pire contraction de l'économie mondiale depuis la seconde guerre mondiale. La révision pour 2009 reste spectaculaire puisqu'en l'espace de trois mois, la contraction du PIB mondial passe de - 1,7% à - 2,9%, soit un quasi doublement de l'intensité récessive. Mais l'information, probablement la plus importante, réside dans l'effondrement de l'investissement privé mondial illustré au travers des flux de capitaux internationaux qui sont passés de 1 200 milliards de dollars en 2007 à 707 milliards de dollars en 2008 et qui devraient se situer en 2009 à 363 milliards de dollars. Soit une contraction de près de 70 % en l'espace de deux ans !
    La reprise n'est pas pour demain. Les ajustements ne font que commencer et la seule bonne nouvelle que nous pourrions attendre, c'est une stabilisation et non une dégradation additionnelle comme l'illustre <st1:personname productid="la Banque" w:st="on">la Banque</st1:personname> mondiale dans son dernier rapport. Il en va de la stabilisation des BNPA (bénéfices net par action), condition sine qua non pour que les marchés actions se stabilisent à leur tour et participent au financement du prochain cycle d'expansion de l'économie mondiale. Les contours de ce dernier n'ont toujours pas été dessiné : c'est ce que vient de nous dire <st1:personname productid="la Banque" w:st="on">la Banque</st1:personname> mondiale.


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  • Les aides aux banques pourraient coûter jusqu'à 16,5% du PIB de l'UE

    [ 23/06/09  - 18H51 - AFP  ]

    Les mesures d'aides publiques aux banques pourraient coûter à l'UE jusqu'à 16,5% de son PIB, selon un rapport publié mardi par <st1:personname productid="la Commission" w:st="on">la Commission</st1:personname> européenne, qui réaffirme la nécessité "de prévoir une stratégie de sortie" des déficits quand la croissance reviendra.
    Dans son rapport annuel sur les finances publiques, <st1:personname productid="la Commission" w:st="on">la Commission</st1:personname> estime que les coûts budgétaires directs nets liés à la crise actuelle, c'est-à-dire ceux des mesures visant à remettre sur pieds le secteur bancaire (recapitalisation, rachat d'actifs douteux...), pourraient représenter jusqu'à 16,5% du Produit intérieur brut de l'UE, dans l'hypothèse la plus négative.
    Mais ils pourraient aussi ne représenter que 2,7% du PIB européen dans le scénario le plus optimiste, ajoute-t-elle.
    Le rapport, qui examine les coûts budgétaires des crises financières passées, souligne que les dépenses nettes visant à restaurer le système bancaire ont atteint en moyenne 13% du PIB dans un échantillon de 49 crises survenues dans le monde depuis 1970.
    "L'expérience montre que les coûts ont été moins élevés lorsque la stratégie de résolution de la crise bancaire était rapidement mise en oeuvre, qu'elle était transparente et bénéficiait d'un vaste soutien politique", relève <st1:personname productid="la Commission.L" w:st="on">la Commission.
    L</st1:personname>e coût de ces engagements pour soutenir le secteur bancaire, ainsi que la progression des dettes publiques, l'accroissement attendu des dépenses liées au vieillissement et le ralentissement de la croissance "soulèvent des inquiétudes quant à la viabilité des finances publiques", indique le rapport.
    "Il est nécessaire de prévoir une stratégie de sortie de crise qui renforce les cadres budgétaires, réforme les dépenses liées au vieillissement et spécifie les mesures d'assainissement envisagées lorsque l'économie se redressera pour relever ces défis et rétablir la confiance des consommateurs, des entreprises et du marché financier", souligne Bruxelles.

     

     

     


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  • Assez bizarre de vouloir recourir à l'emprunt des particuliers (cela n'est pas définitivement acté) pour relancer notre croissance.

    Car :

    - d'abord emprunter détruit de la "monnaie" celle que les consommateurs utilisent pour soutenir la croissance,

    - l'Etat a un programme d'émission mensuel sur les marchés (160 Milliards prévus pour 2009)

    - Les derniers grands emprunts ont toujours coutés très cher a l'Etat français, faut bien donner des "avantages" par rapport au marchés financiers.

     

    Verbatim : le grand emprunt 


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  • J’ai pris un peu de recul pour analyser.

    Que voyons nous se dessiner à l’horizon, pratiquement sur touts les points le tableau suivant :

    Les Etats-Unis avancent, déblayent, en Europe c’est du chacun pour soi.

     

    Regardez

    1.Les nouveaux outils de régulation :

    les Etats-Unis mettent en place un schéma

    Obama crée de nouvelles agences pour assurer la sécurité des marchés 

    L’Europe une véritable usine a gaz

    Nouveau cadre européen proposer par le Rapport Larosière
    Commentaires sur le Rapport Larosière 

    2. Les banques :

    -         stress test,

    -          poids dans l’économie,

    Poids du secteurs bacaires dans l'économie 

    -         pertes enregistrés, etc…
    Zone euro poids des systèmes bancaires 

    3.Croissance 2009

    Evolution du PIB dans les éconimies avancées perspectives de croissance dans les BRIC 

    Les voix des économistes qui s’élèvent sont en majorité américaines.

    Il est indéniable que la zone Euro est empêtrée dans ces contradictions.

    La zone Asie montre aussi que le Japon peine ( pour ne pas dire autre chose), les chinois ( attention on ne connait pas bien les véritables statistiques),relancent à tout va, l’Inde aussi.

     

    Le monde « nouveau » est en train de se dessiner, mais dans ces analyses et prospectives manquent deux éléments majeurs :

    -         la prise en compte écologique(et donc un partage des ressources « plus juste », pour éviter au nations émergentes de faire le même schéma de développement trop consommateurs de ressources non « reconstituables » ),

    -         La pyramides des âges, c’est une notion fondamentale pas assez prise en compte dans nos débats économiques (un seul exemple : l’âge de la retraite, comparée les décisions prise par l’Allemagne pays ou les seniors vont passer a 35% de la population a <st1:personname productid="la France" w:st="on">la France</st1:personname> qui « n’a qu’un trou démographique » et une escroquerie intellectuelle)


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