« Pour maintenir des salaires bas, sources de plus-value, le capitalisme a besoin de maintenir une masse de prolétaires sans emplois, qui obligent ceux qui en ont un à accepter un salaire de subsistance. En lieu et place de la pression démographique [il parle ici de la loi de Malthus, qui était celle selon lui qui s’appliquait avant le capitalisme], le capitalisme substitue une misère construite par lui-même, aux fins de son bon fonctionnement. ».
A méditer.
Il vient de donner un rapport au gouvernement le titre du rapport : « sortie de crise : l’émergence de nouveaux modèles », tout un programme. Je suis en train d’y travailler et je le mettrais sur mon blog.
Lien vers une présentation par Slate et les Echos du Livre cité plus haut :
Daniel cohen : "La prospérité du vice" , voila un livre qui bouscule nos idées ( commentaires)