Voir aussi :
Banque et normes ( ou nouvelles normes)
La déroute de la production industrielle continue.
La baisse continue des salaires ( et augmentation du chômage –Sommet mondial de l'OIT ( Organisation Internationale du Travail) contre le chômage ) qui freinera la consommation donc in fine la croissance.
Ou pire présenté sous un angle « flatteur » :
Une poignée d'indicateurs macroéconomiques, qui font dire à certains analystes, qu'un retournement de tendance est en cours. Il paraîtrait par exemple que le marché de l'immobilier reprendrait du poil de la bête ces temps-ci (les ventes de logements anciens aux Etats-Unis ont progressé de 3,6% en juin, renouant avec leur niveau de juin 2008, tandis que, plus spectaculaire, les ventes de maisons neuves ont enregistré en juin leur plus forte augmentation en huit ans).Mais le marché immobilier dans son ensemble :
Et en europe :
Nouvelles données parut le 27/7/2009 pour les Etats-Unis, a vous de juger :
Et en France
Points sur l'immobiler avec quelques graphiques
Et n'oublions pas les banques :
Historique opérations bancaires et cela continue encore et encore juillet 2009
Points de vue :
LES MARCHES ENFIN DEBARRASSES INFORMATIQUEMENT DE TOUT LIEN AVEC LE REEL
Quel scénario pour le moyen terme ?
A moyen terme avec une croissance potentielle qui se modère en raison des faiblesses qui ne manqueront pas d’être rencontrées à terme du côté de l’offre.
La croissance potentielle, liée aux gains structurels de productivité et à l’évolution de la population en âge de travailler, est en effet appelée à diminuer.
Elle se limiterait à 2,25% aux Etats-Unis et entre 1 et 1,25% dans la zone euro. Le taux de chômage compatible avec la stabilité des prix, de 8,5% avant l’éclatement de la crise, atteindrait 10% l’an prochain, ce qui rend plus difficile la mobilisation de la main-d’œuvre.
Ci-dessous le scénario des grandes banques Françaises pour la croissance trimestrielle ( exprimé en % d’accroissement ), pas vraiment la reprise.
Vous pensez que le rebond est-la ?
Ce qui donne une croissance potentielle de <st1:personname productid="la Bourse" w:st="on">la Bourse</st1:personname> entre 3 et 5% contre 8/10 avant la crise (ces performances s’entendent lissé sur une période de 5 ans et en moyenne ).
Quelques performances du CAC calculé en taux actuariel :
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01/01/1995 |
4,07% |
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01/01/1998 |
1,00% |
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01/01/2000 |
-5,72% |
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12/03/2004 |
6,47% |
6. La commission européenne veut de nouvelle règles pour les banques aidés.
Fermeté et flexibilité : <st1:personname productid="la Commission" w:st="on">la Commission</st1:personname> européenne entend, à l'avenir, osciller entre ces deux pôles quand elle prendra des décisions concernant les banques qui ont bénéficié d'aides publiques.
Une douzaine de dossiers ont déjà été approuvés, de 30 à 40 sont actuellement à l'étude. Parmi ceux-ci, les plus délicats semblent le sauvetage de Northern Rock en Grande-Bretagne et d'ING aux Pays-Bas.
Les autorités de la concurrence ont expliqué, le 23 juillet, quelles nouvelles règles elles appliqueraient pour rétablir la viabilité des banques, favoriser des restructurations du secteur financier et redynamiser la concurrence au sein du marché unique.
" On ne peut avoir un système financier sain sans banques saines ", estime Philip Lowe, directeur général des services de la concurrence. Il souligne que les établissements " non viables ", incapables de survivre sans aides publiques à long terme, devraient " être autorisés à faire faillite ". <st1:personname productid="la Commission" w:st="on">La Commission</st1:personname> a imposé des liquidations d'entreprises dans le passé, dont celles de chantiers navals en Pologne.
Côte fermeté, <st1:personname productid="la Commission" w:st="on">la Commission</st1:personname> évoque aussi l'interdiction de toute opération de croissance ou d'opérations de marketing " trop agressives ", qui seraient en bout de ligne " payées par les contribuables ".
Bruxelles s'autorise aussi à forcer des banques à se défaire d'une partie de leurs actifs. La commissaire Neelie Kroes a déjà ordonné, en mai, aux allemandes Commerzbank et WestLB de fondre de moitié. Elle a parlé, en juin, de possibles désinvestissements pour Royal Bank of Scotland et à Lloyds Banking Group, en Grande-Bretagne.
Mme Kroes entend aussi forcer des banques à s'allier à un groupe rival plus fort. Quant aux actionnaires, ils devront contribuer eux-mêmes, et " autant que possible ", aux coûts des restructurations et apporter une rémunération " correcte " aux pouvoirs publics qui les ont soutenus.
Et les Assureurs Crédit vous savez ( les nonoliners, rehausseurs, etc...ceux par lesquels les pertes sont aussi arrivés, nottament pour les banques européennes).
Que font les assureurs Crédit ( vous devinez !!!!)
Je viens aussi de découvrir un excellent article :
Une Crise Pour rien
Je vous laisse faire votre conclusion.
Je ne vais plus mettre a jour ce commentaire, sinon vous allez me dire que cela est orienté.