• Ou en sommes-nous ? rebond de la bourse ! donées Macroéconomique

    Un des facteurs importants sont les allocations d'actifs préconisés par les Banques voici un lien explicite :

    Pourquoi les Marchés montent 

    Voir aussi :
    Banque et normes ( ou nouvelles normes) 

    Les facteurs avancés pour expliquer le rebond de <st1:personname productid="la Bourse" w:st="on">la Bourse</st1:personname> :
    1. Les résultats meilleurs que prévu : ils ne baissent plus que de 21%

    2. Les valorisations sont raisonnables. Regarder bien le graphique, le PER et les BNPA sont corrélés, c’est logiques car PER = Cours / BNPA, donc c’est plutôt les BNPA qu’il faudrait observé et la c’est simple une grande baisse continuelle.

    3. Le goût du risque revient, c’est une affirmation auto réalisatrice. Mais attention une grosse divergence entre Vol histo et Vol implicite est en train de se faire.
    4. Des ordres d’achat déclenchés automatiquement grâce a des programmes tradings. Personnes ne peut le vérifier vraiment, mais ce sont des rumeurs de salle de marchés. Il est certain que les mois d’été sont propice à ce genre de choses vu l’absence de beaucoup d’opérateurs.
    5. Les fusions acquisitions reprennent : sans commentaires.

    6.
    Une masse de capitaux qui cherche à s’investir. Fuite vers le rendement, donc de nouveaux les actions. C’est la prochaine bulle qui se prépare. Cependant les volumes en France sont faible moitié de ceux de l’an dernier, aucune journée au niveau de la moyenne des volumes de l’an dernier

    Un facteur explicatif à mon sens trop ignorés :

    Le marché des changes est fortement corrélé à la performance de <st1:personname productid="la Bourse. Le" w:st="on">la Bourse. Le</st1:personname> dollar évolue en sens inverse des indices boursiers depuis presque un an, une période exceptionnellement longue. La corrélation entre les deux marchés est plus forte que d'ordinaire.

    C’est pas très logiques car si le dollar baisse il y a vente d’actifs américains et pression a la baisse (mais les actions montent). Comment cela ? les banques américaines !!!

    Des données macro complètements ignorés :
    Le taux d’utilisation des capacités de production le fond n’est pas atteint.


    La déroute de la production industrielle continue.

    La baisse continue des salaires ( et augmentation du chômage –Sommet mondial de l'OIT ( Organisation Internationale du Travail) contre le chômage   ) qui freinera la consommation donc in fine la croissance.

    Ou pire présenté sous un angle « flatteur » :
    Une poignée d'indicateurs macroéconomiques, qui font dire à certains analystes, qu'un retournement de tendance est en cours. Il paraîtrait par exemple que le marché de l'immobilier reprendrait du poil de la bête ces temps-ci (les ventes de logements anciens aux Etats-Unis ont progressé de 3,6% en juin, renouant avec leur niveau de juin 2008, tandis que, plus spectaculaire, les ventes de maisons neuves ont enregistré en juin leur plus forte augmentation en huit ans).Mais le marché immobilier dans son ensemble :

    Et en europe :

    Nouvelles données parut le 27/7/2009 pour les Etats-Unis, a vous de juger :

    Et en France

    Points sur l'immobiler avec quelques graphiques 

    Et n'oublions pas les banques :

    Historique opérations bancaires et cela continue encore et encore juillet 2009

    Points de vue :
    LES MARCHES ENFIN DEBARRASSES INFORMATIQUEMENT DE TOUT LIEN AVEC LE REEL 

    Quel scénario pour le moyen terme ?  
    A moyen terme avec une croissance potentielle qui se modère en raison des faiblesses qui ne manqueront pas d’être rencontrées à terme du côté de l’offre.

    La croissance potentielle, liée aux gains structurels de productivité et à l’évolution de la population en âge de travailler, est en effet appelée à diminuer.

    Elle se limiterait à 2,25% aux Etats-Unis et entre 1 et 1,25% dans la zone euro. Le taux de chômage compatible avec la stabilité des prix, de 8,5% avant l’éclatement de la crise, atteindrait 10% l’an prochain, ce qui rend plus difficile la mobilisation de la main-d’œuvre.

    Ci-dessous le scénario des grandes banques Françaises pour la croissance trimestrielle ( exprimé en % d’accroissement ), pas vraiment la reprise.

    Vous pensez que le rebond est-la ?

    Ce qui donne une croissance potentielle de <st1:personname productid="la Bourse" w:st="on">la Bourse</st1:personname> entre 3 et 5% contre 8/10 avant la crise (ces performances s’entendent lissé sur une période de 5 ans et en moyenne ).
    Quelques performances du CAC calculé en taux actuariel :

     

     

    01/01/1995

    4,07%

     

     

    01/01/1998

    1,00%

     

     

    01/01/2000

    -5,72%

     

     

    12/03/2004

    6,47%

     

    Informations diverses de ce Week-end :

    1. La réforme financière américaine prend du plomb dans l’aile. Comme pour la réforme de l’assurance-santé, celle des services financiers prend du retard sous la pression des lobbies, mais aussi en raison de querelles de clocher entre les différents régulateurs.
    1 : 0

    2. L’hypothèse d’un rebond rapide de l’économie britannique n’est plus jugée crédible.  <st1:personname productid="La Grande-Bretagne" w:st="on">La Grande-Bretagne</st1:personname> a enregistré une contraction de son économie beaucoup plus importante que prévu au deuxième trimestre de l’année.
    2 : 0

    3. difficulté grandissante pour Zapatero (coupe les ponts avec le patronat espagnol, chômage qui augmente, banques en difficultés, etc..)
    3 :0

    4. Interrogations sur la reprise française, Alors que la conjoncture française semblait nettement s’améliorer au cours des derniers mois, la publication des chiffres de l’indice PMI pour <st1:personname productid="la France" w:st="on">la France</st1:personname> fait l’effet d’une douche froide. Pour Markit, qui publie l’indice PMI, le recul de 47,8 en juin, à 47,2 en juillet, traduit« un fort taux de contraction de l’activité globale du secteur privé français », notamment dans le secteur des services.
    4 :0

    5.
    USA : la reprise n'est pas pour tout de suite, avertit Joe Biden Le vice-président américain "Il reste encore un long chemin à parcourir, mais manifestement, nous sommes désormais plus proches de la reprise que nous l'étions en janvier", a écrit M. Biden dans un éditorial publié dans le New York Times, ajoutant que le plan de relance avait été "décisif".
    5 :0

    6. La commission européenne veut de nouvelle règles pour les banques aidés.
    Fermeté et flexibilité : <st1:personname productid="la Commission" w:st="on">la Commission</st1:personname> européenne entend, à l'avenir, osciller entre ces deux pôles quand elle prendra des décisions concernant les banques qui ont bénéficié d'aides publiques.
    Une douzaine de dossiers ont déjà été approuvés, de 30 à 40 sont actuellement à l'étude. Parmi ceux-ci, les plus délicats semblent le sauvetage de Northern Rock en Grande-Bretagne et d'ING aux Pays-Bas.
    Les autorités de la concurrence ont expliqué, le 23 juillet, quelles nouvelles règles elles appliqueraient pour rétablir la viabilité des banques, favoriser des restructurations du secteur financier et redynamiser la concurrence au sein du marché unique.
    " On ne peut avoir un système financier sain sans banques saines ", estime Philip Lowe, directeur général des services de la concurrence. Il souligne que les établissements " non viables ", incapables de survivre sans aides publiques à long terme, devraient " être autorisés à faire faillite ". <st1:personname productid="la Commission" w:st="on">La Commission</st1:personname> a imposé des liquidations d'entreprises dans le passé, dont celles de chantiers navals en Pologne.
    Côte fermeté, <st1:personname productid="la Commission" w:st="on">la Commission</st1:personname> évoque aussi l'interdiction de toute opération de croissance ou d'opérations de marketing " trop agressives ", qui seraient en bout de ligne " payées par les contribuables ".
    Bruxelles s'autorise aussi à forcer des banques à se défaire d'une partie de leurs actifs. La commissaire Neelie Kroes a déjà ordonné, en mai, aux allemandes Commerzbank et WestLB de fondre de moitié. Elle a parlé, en juin, de possibles désinvestissements pour Royal Bank of Scotland et à Lloyds Banking Group, en Grande-Bretagne.
    Mme Kroes entend aussi forcer des banques à s'allier à un groupe rival plus fort. Quant aux actionnaires, ils devront contribuer eux-mêmes, et " autant que possible ", aux coûts des restructurations et apporter une rémunération " correcte " aux pouvoirs publics qui les ont soutenus.

    Et les Assureurs Crédit vous savez ( les nonoliners, rehausseurs, etc...ceux par lesquels les pertes sont aussi arrivés, nottament pour les banques européennes).
    Que font les assureurs Crédit ( vous devinez !!!!) 

    Je viens aussi de  découvrir un excellent article  :
    Une Crise Pour rien  

    Je vous laisse faire votre conclusion.
    Je ne vais plus mettre a jour ce commentaire, sinon vous allez me dire que cela est orienté.


  • Commentaires

    1
    action bleue handica
    Mardi 28 Juillet 2009 à 23:17
    Merci
    2
    emile11111 Profil de emile11111
    Mercredi 29 Juillet 2009 à 07:46
    Merci
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