• Risible :

    US : Stable

    Le déficit budgétaire américain dépassera 13,5 %du PIB en 2009, de quoi inquiéter ses créanciers.

    Montaldo en le paraphrasant « bravo les majors de le note lyrique, je vous ait con pris »

    Triple A pour <st1:personname productid="la France" w:st="on">la France</st1:personname> aussi, notre déficit pas de soucis, sur les marchés coutent quand même 0.2% d’écart avec l’Allemagne soit 3 Milliards d’euros de plus par an.

    Nos finances publiques par le Sénat 

    Le A+ de l’Italie lui coutent cher 1.5% d’intérêt en plus (sur 4% presque 50%). La protection de l’Euro, faudrait voir.


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  • L'Etat britannique reste au capital des banques

     

     

    La cession des participations publiques dans les banques britanniques pourrait prendre des années et se faire par tranches, a indiqué, lundi 13 juillet, United Kingdom Financial Investments, la holding publique chargée de leur gestion. Elle estime qu'il serait désavantageux de vendre ces titres avant qu'une reprise n'ait fait remonter durablement leur valeur boursière. La valeur à la fin juin des 43 % de l'Etat britannique dans Lloyds Banking Group, et des 70,3% dans Royal Bank of Scotland représentait une moins-value potentielle pour l'Etat de 10,9 milliards de livres (12,7 milliards d'euros).

    Des dirigeants de Goldman Sachs ont vendu de gros paquets d'actions

     

     

    Des dirigeants du géant bancaire américain Goldman Sachs ont vendu pour presque 700 millions de dollars (500 millions d'euros) d'actions de leur entreprise au moment où l'établissement était en difficulté, après la faillite de Lehman Brothers en septembre 2008, selon le Financial Times du mardi 14 juillet. Le gros de ces cessions, équivalentes à 500 millions d'euros, est intervenu alors même que Goldman Sachs était renfloué par une injection de 10 milliards de dollars du gouvernement américain.

    Cette information est aussi dans le livre de Jean MONTALDO : « Lettre ouverte aux bandits de la finance »

    Le déficit budgétaire des Etats-Unis dépasse les 1 000 milliards de dollars

     

     

    Le déficit budgétaire des Etats-Unis a crevé le plafond des 1 000 milliards de dollars - 1 086,263 milliards de dollars exactement, soit 776 milliards d'euros - à la fin juin, neuvième mois de l'année fiscale américaine. Dans son rapport mensuel sur le budget, le département du Trésor a annoncé que le déficit de juin avait atteint un record, à 94,3 milliards de dollars. Les analystes, qui s'attendaient à un chiffre de 97 milliards, semblent avoir été agréablement surpris. Selon les projections du Bureau du budget du Congrès, le déficit de l'Etat fédéral devrait dépasser la somme de 1 800 milliards de dollars (1 285 milliards d'euros) à la fin de l'exercice, le 30 septembre.

     

    Chine : l'afflux de capitaux bon marché a des relents inflationnistes

     



    Il n'est jamais facile de dire non à <st1:personname productid="la Chine..." w:st="on">la Chine...</st1:personname> sauf si l'on est investisseur sur le marché obligataire. La mise aux enchères, par le ministre des finances chinois, de titres à courte échéance a reçu à trois reprises un accueil plutôt tiède, la semaine du 6 juillet. Chaque fois, une partie des titres n'a pas trouvé preneur. Les montants n'étaient pas très élevés : 63 milliards de yuans (9,2 milliards de dollars), c'est-à-dire l'équivalent de 1 % des recettes fiscales attendues par le gouvernement en 2009.

    Pékin se trouve confronté à un cruel dilemme. Le gouvernement se refuse à donner un tour de vis monétaire alors que l'économie continue de décélérer. La chute des exportations de 21 % en juin n'aura pu que le conforter dans le choix de la prudence. Le problème, c'est que le prix des actifs a dépassé la cote d'alerte. Les transactions immobilières ne sont pas loin de leur sommet de 2007. En juin, la mise en vente d'une parcelle de terrain dans le quartier des affaires du centre de Pékin a battu tous les records. Le marché des actions a décidé de rester euphorique.

    Tant que la reprise ne sera pas avérée, il y a peu de chances que <st1:personname productid="la Chine" w:st="on">la Chine</st1:personname> arrête d'alimenter le secteur industriel en capitaux bon marché. Voilà qui laissera le temps aux bulles de se former et de prendre de belles proportions. Il sera alors devenu quasi impossible de contenir l'inflation... et donc de maintenir des taux d'intérêt aussi bas.

    Nouveau record pour les réserves de changes de <st1:personname productid="la Chine" w:st="on">la Chine</st1:personname> : 2.130 milliards de dollars 

     

    Les réserves de changes de <st1:personname productid="la Chine" w:st="on">la Chine</st1:personname> ont atteint un nouveau record, à 2.130 milliards de dollars, soit une hausse de 17,8% sur un an, a annoncé mercredi <st1:personname productid="la Banque" w:st="on">la Banque</st1:personname> centrale chinoise. Le pays est en tête des réserves mondiales de devises étrangères.

    En mars, ses réserves avaient grimpé à 1.954 milliards de dollars et <st1:personname productid="la Chine" w:st="on">la Chine</st1:personname> avait proposé de remplacer le dollar par une nouvelle monnaie de réserve mondiale, contrôlée par le Fonds monétaire international (FMI), une initiative destinée à montrer au G-20 que Pékin était désormais un partenaire incontournable. AP

     

    Le Royaume-Uni toujours pas près d'adopter l'euro, admet Peter Mandelson :

           

     

     

    Le Royaume-Uni n'est pas près de rejoindre la zone euro, même si cela reste officiellement un objectif à long terme, a reconnu mardi le ministre britannique du Commerce, Peter Mandelson, numéro deux du gouvernement et fervent partisan de la monnaie unique européenne.

    "Je crains que cela ne prenne des années et beaucoup plus longtemps que je ne le souhaiterais (...) Les chances que nous adoptions prochainement la monnaie unique sont minces", a déclaré Lord Mandelson devant des journalistes au Parlement.

    Ces déclarations sont susceptibles de raviver les anciennes querelles sur l'euro au sein du parti travailliste et les critiques de l'opposition conservatrice, qui accuse régulièrement M. Mandelson, ancien commissaire européen, de faire passer les intérêts de Bruxelles avant ceux de Westminster.

    En écho à ces propos, Downing Street a tenu à rappeler que sa position vis-à-vis de l'euro n'avait pas changé.

    En adoptant le Traité de Maastricht, le Royaume-Uni s'était engagé à adopter l'euro lorsque les conditions économiques seraient réunies, ce qui reste l'objectif officiel du gouvernement.

    Mais un porte-parole du Premier ministre a rappelé que les "cinq tests économiques" mis en place par Gordon Brown en 1997 lorsqu'il était ministre des Finances n'étaient pas remplis, comme l'avait conclu un rapport officiel datant de 2003, qui, depuis, n'a jamais été réactualisé.

    C’est pas gagné pour L’euro pour Remplacer le Dollar.


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