• Bonjour,

    je vais dans cette nouvelle catégorie parler de mon coeur de métier : La gestion de Patrimoine.

    J'éspére avoir beaucoup de commentaires et surtout des cas ou des questions personnelles, pour y répondre. Cela servira je pense a beaucoup de monde.

    Car se métier se compose pour l'essentiel :

    - des conseillers ( gestionnaires de Patrimoine de Banque) qui veulent vraiment conseiller, mais que les banques raménent au rang de VENDEURS

    - de conseillers ou de Gestionnaires indépendant, qui ne le sont pas, car majoritairement rémunéré sur leur ventes. Je me souviens de la réponse que m'a faites un "fabricant d'assurance-vie", quand je lui ait répondu il y 20 ans que c'était de l'escroquerie fiscale son contrat. "Oui mais toi tu gagne de l'argent et le client, il risque quoi ? Payé ce qu'il doit au pire, ou s'il a de la chance passé au travers des gouttes." A l'époque j'étais salarié d'une grande Banque.

    - de journeaux financiers, patrimoniaux qui au mieux font des publi reportage , mais pas vraiment du conseil, ou de l'explication. Je suis en train de "discuter" avec un journal sur la retraite. Je vous tiendrais au courant. Vraiment pas triste.

    - je ne vous parle pas des vendeurs d'assurance-vie car la se cotoie tout, et plutôt des Vendeurs

    - le dernier maillon étant le juridique, mais pas le moins important. Les notaires étant plutôt des "juges" que des gens écoutant ce que veulent leur clients.


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    Merci Phili675


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  • Quelle est la différence entre la crise de 1929 et la crise actuelle ? <st1:personname productid="La Chine. Ce" w:st="on">La Chine.  Ce</st1:personname> raccourci facile en dit long sur une analyse très en vogue chez beaucoup d'économistes ces derniers temps : ce n'est pas le plan de relance post-keynésien version Barack Obama, et encore moins la «refondation» du capitalisme financier version G-20, qui sortira l'économie mondiale du marasme. Mais le milliard de consommateurs chinois – merci à eux. The Economist, dans sa dernière édition, en a fait un slogan : l'heure est au «découplage 2.0».

    l y a encore un an, avant l'accélération de la crise, des experts défendaient la théorie du «découplage» : les pays du Sud, assuraient-ils, ne seraient pas touchés par l'ouragan. La thèse est aujourd'hui tombée aux oubliettes, démentie aux quatre coins du globe. «Mais l'idée a peut-être été écartée trop vite», s'aventure l'hebdomadaire. Car les grands pays émergents, dont <st1:personname productid="la Chine" w:st="on">la Chine</st1:personname>, sont déjà en train de rebondir, quand les vieilles puissances occidentales, Europe en tête, devraient rester enlisées encore pendant de longs mois...

    Mais alors si c’est vrai. Quid du dollar ? relisez « sortie de crise Comment ».

    Oui les deux schémas sont incompatibles un des deux et faux.

    Mais regardez l’incidence :

    - De passage en Chine hier( 2/6/2009) , Geithner a paraît-il (info Reuters , La tribune, les Echos, etc..) expliquer a son auditoire que les T-Bonds étaient des placements sûrs.

    - Le dollar chute, cela commence même a inquiéter sérieusement. Si <st1:personname productid="la Chine" w:st="on">la Chine</st1:personname> investit elle n’achète pas des Tbonds américains, mais chaque perte de change s’impute aussi sur le stock de Tbonds que détient la chine. Ces avoirs se déprécient donc.

    - Conséquence les taux ( a 10 ans et plus se tendent), la aussi ces avoirs se déprécient une remontée de 0.1% des taux équivaut a une perte de 1.5% sur le stock de <st1:personname productid="la Chine" w:st="on">la Chine</st1:personname>

    - l’indice Baltic du fret maritime ( voir graph) explose donc le commerce mondial reprend, que nenni . La chine achète ( ou plutôt achetait, production de fer du Brésil -50% en mai ) tout le fer disponible pour en faire ? ils le stockent. Même plus la place, alors 10% des gros Vraquiers ( les immenses bâtiments  de plus de 150 000 tonnes) attendent devant les cotes chinoises pour décharger. Et les produits sidérurgiques chinois ? plus 0.9% sur les trois premiers mois, pas de quoi pavoiser

    Mais tout cela est-ce de la croissance ? Evidement NON, mais des signes inquiétant de la sortie de crise ( pas comme on l’envisageais- ou plutôt ce que les économistes voulaient éviter), je reviendrais sur ce point.

     

    Index Baltic :


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  • La volatilité et "l'actif " le plus important de la finance.

    Elle mesure le risque de variation des cours d’un actif financier. Plus la volatilité est élevée, plus les cours ont des chances de bouger. La volatilité est toujours exprimée en donnée annuelle (et en %  - pour comparer avec des rentabilité exprimées en %) :

    La volatilité est le concept clé de tout marché financier et tous spécialement de tout marché conditionnel

     

    La Volatilité qui ressort du cours coté de la prime d’une option tel qu’il est coté sur un marché conditionnel est dite implicite.

    La formule de  Black et Scholes calcule la valeur théorique de la prime d’une option à partir de cinq éléments dont la volatilité de l’actif sous-jacent. Cette formule peut « s’inverser » : connaissant la prime et ses différents éléments, il est possible de déduire la volatilité « implicite » qui explique le cours de la prime.

    Elle est cotée au travers des indice VIX ( au Etats-Unis ) et VCAC (  code ISIN  QS0011052139 ) sur Euronext.

    Parmi ces caractéristique on a put démontrer que si la volatilité augmente, l'indice boursier baisse et inversement. De plus c'est un indices précurseur ( avant les autres).

    Vous comprendrez donc aisément mon intérêt pour cet indicateur ( il en existe beaucoup d'autres- importance dans les options, couple rentabilité/risque, etc..).

    Ci dessous graphique montrant cette relation.

     

     


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  • GM et citi évincés du Dow Jones

     

    Le fabricant de routeurs Internet Cisco et l'assureur Travelers remplaceront le constructeur automobile General Motors et le groupe bancaire Citigroup au sein du Dow Jones à partir du 8 juin. GM était l'un des piliers de l'indice vedette de la Bourse américaine, puisqu'il y était entré en 1925. Son éviction a suivi de quelques minutes l'annonce officielle de son dépôt de bilan devant un tribunal des faillites de New York


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