• La chute est spectaculaire cela se passe de commentaires. Vous en avez reçut tout au long de la journée.

    Mais !! si l’impôt sur les sociétés baisse, les résultats des sociétés baissent et ….vous m’arrêtez mais donc ce que l’on nous raconte sur les bénéfices des entreprises, vous savez pour la bourse, serait-ce !!! et deux fois moins qu’en 1998 (avec un IS plus élevé ), on nous cache des choses c’est pas possible. Les deux ne vont pas ensemble.

    Excusez moi je suis en train de déguster un petit digestif  (maison) je pense que cela doit la être la raison.
    Sinon c’est pas possible ..

    On nous ment malgré nous. Non


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  • Le point de vue de l'agence économique et financière Breakingviews.com

    Les leçons de la crise financière n'ont pas été retenues

     

     

    Lorsque la bombe des subprimes a éclaté aux Etats-Unis en août 2007, peu d'économistes se sont inquiétés des répercussions hors du secteur de la finance. Leurs modèles intégraient peu de variables financières. Il y avait toujours de riches investisseurs pour aider les établissements bancaires, les banques centrales et soutenir les marchés.

    Or c'était folie que de prendre ces événements avec autant de calme. Car les maux du secteur financier ont contaminé l'économie. Et le monde connaît la récession la plus grave depuis les années 1930. Les marchés financiers sont repartis, mais les pays ont une croissance au mieux poussive et le chômage s'étend. Personne ne sait si le cocktail de mesures monétaires et de dépenses publiques permettra de sortir de ce marasme, tant les signes de reprise sont fragiles.

    Mais on peut d'ores et déjà tirer trois leçons à la fois financières et économiques de cette crise.

    La dette, un poison toxique

    D'abord, il est dangereux de laisser perdurer les déséquilibres. Quand l'inflation était faible et la croissance régulière, de nombreux économistes pensaient que tout allait pour le mieux. Mais le grand écart provoqué à l'échelle mondiale par l'investissement d'énormes excédents commerciaux dans des placements à revenus fixes a rendu l'argent trop bon marché et l'ensemble des économies vulnérables au moindre raté du moteur financier. Le décalage s'est accentué entre l'évolution de la valeur des actifs et celle des revenus. Ce qui est périlleux.

    Deuxièmement, la dette est un poison toxique. Il a été largement ingurgité. Ses effets se font douloureusement sentir sur les firmes qui ont voulu " assainir " la structure de leur bilan en choisissant d'emprunter pour financer le rachat de leurs actions et sur les particuliers qui ont contracté force prêts pour accéder à la propriété. Or l'effet de levier du crédit est difficilement réversible.

    Enfin, la mondialisation n'est pas un principe vertueux en soi. La libre circulation des capitaux a accru la volatilité des flux financiers, des taux de change et du cours des matières premières. Quand ils sont favorables, les économies prospèrent ; quand ils se retournent, les dégâts sont terribles. Elle peut aussi être source d'antagonisme lorsque les conditions des échanges varient brutalement. La croissance se métamorphose alors en régression.

    Ces trois leçons peuvent se condenser en une seule : la sollicitation excessive des circuits financiers conduit au désastre.

    Les dirigeants politiques n'ont pas retenu cet enseignement. Ainsi, alors que les déséquilibres commerciaux se sont réduits, gouvernements et banques centrales déploient tous leurs outils de relance monétaire et budgétaire. Il était judicieux de lancer des plans de relance bien calibrés. Mais on a mis en oeuvre des dispositifs de grande ampleur, sans réfléchir à la façon dont on les démantèlerait. Il y a six mois, on était décidé à fonder un nouvel ordre financier mondial. Aujourd'hui, il ne reste plus grand-chose de cette belle détermination. Espérons qu'elle renaîtra avant la prochaine crise financière.

    Edward Hadas

    (Traduction de Christine Lahuec)


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  • Le monde a échappé à une " Grande Dépression bis ", selon M. Krugman

     

     

    Le monde a échappé à une " Grande Dépression bis ", mais il faudra au moins deux ans avant que l'économie mondiale ne se redresse totalement, a estimé le 10 août le Prix Nobel d'économie américain Paul Krugman, à Kuala Lumpur (Malaisie). Bien que le pire de la crise financière soit passé, le monde fait face à un ralentissement comparable à la " décennie perdue " subie par le Japon dans les années 1990, a-t-il ajouté devant un forum de chefs d'entreprise. " Comment s'en sort-on ? La réponse technique est : Dieu seul le sait. Nous manquons de modèles ", a dit M. Krugman, professeur d'économie à l'université américaine de Princeton. - (AFP.)

     

     

    Les exportations chinoises reculent de 23 % sur un an

     

     

    <st1:personname productid="La Chine" w:st="on">La Chine</st1:personname> a annoncé, le 11 août, que ses exportations s'étaient élevées en juillet à 105,4 milliards de dollars (74 milliards d'euros), en baisse de 23 % sur un an, mais en hausse de 10,4 % par rapport à juin. - (AFP.)

    Sept villes norvégiennes poursuivent Citigroup en justice

     

     

    Sept municipalités norvégiennes - Bremanger, Hattfjelldal, Hemnes, Kvinesdal, Narvik, Rana et Vik - et la maison de courtage Terra Securities ont porté plainte contre Citigroup après avoir perdu des millions d'euros dans des placements à risque proposés par la banque américaine. Elles réclament 200 millions de dollars (141 millions d'euros) de dommages et intérêts à la banque pour avoir menti sur la nature des risques encourus dans leurs investissements. - (Reuters.)

     

    Le groupe Guardian perd 24 millions de livres en spéculant sur les devises

     

     

    LONDRES. Le groupe de presse britannique Guardian Media Group (GMG) a essuyé une perte de 24 millions de livres (28 millions d'euros) à la suite d'une spéculation ratée sur le marché des devises. Les gérants du fonds d'investissement de GMG dans les hedge funds ont été pris de court par la baisse de la livre sterling par rapport au dollar. GMG a créé ce fonds spéculatif - son capital s'élève à 200 millions de livres - pour diversifier ses revenus en réduisant sa dépendance envers le marché de la publicité au Royaume-Uni. Le conglomérat contrôlé par le Scott Trust, organisme à but non lucratif, comprend des journaux nationaux et régionaux, des magazines et des stations de radio. Lors de l'exercice budgétaire 2008-2009 se terminant début avril, le GMG a accusé une perte avant impôt de 89,8 millions de livres. Celle-ci, enregistrée sur le marché des changes Forex, ne serait pas étrangère aux rumeurs d'une possible fermeture de l'Observer, le plus vieil hebdomadaire dominical britannique, racheté en 1993. Malgré une diffusion en hausse, le titre fondé en 1791 est lourdement déficitaire. Quant au vaisseau amiral du groupe, le quotidien de centre gauche The Guardian - son tirage moyen quotidien s'élève à 360 000 exemplaires -, il est aussi en perte du fait de la contraction du marché publicitaire. Le GMG envisagerait de faire de l'Observer un magazine qui serait publié le jeudi ou de créer une édition dominicale du Guardian.

     

     

     


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  • J'ai réagit sur le forum : voila ma réaction j'attends de pied ferme la réaction de France télévision ou de quelqun d'autres.

    Sur le forum Marc Touati se fait "étriper". C'est vrai qu'il a dite nombre de contre vérité, mais je pense quand même que c'est au journaliste d'avoir préparer l'émission et de le contredire. Il faut que les journbaliste prennent leur responsabilité.

    Une de mes interventions :

    Désolant pour une émission qui se veut d’information. Et le mot est faible. Je vais utiliser cette émission avec mes étudiants pour décortiquer les contre vérités (mensonges, etc.…) qui ont sillonné cette émission.
    A titre d’exemple je vais en relever quelques uns :
    1. A quoi serve les marchés financiers : réponse plus a rien, le financement des entreprises n’est plus fais par ce biais. M. Touati (c’est un véritable scandale) devrait le savoir lui qui a travaillé chez Natixis dont se trouve extrait le graph. Nous sommes dans un « Capitalisme sans projet » comme aime à le Répéter M. Aglietta.
    Pour Info  ce graph est extrait plus généralement d’un rapport du Conseil d’Analyse Economique (rapport donné a l’Etat , que les journaliste devraient lire , oui …..j’y reviendrais).

    Dans ce même rapport existe une analyse sur les Bonus des Banques qui dit clairement ce qu’il faut faire et ce qu’il font supporter a la collectivité. D’ailleurs un procureur américain vient de faire un rapport sur ce sujet le titre du rapport « pile je gagne, face tu perds ». Au moins ils appellent un chat un Chat.


    2. Comment faire pour que les banques finance « l’économie », on le sait et cela depuis 1930. Les Etats-Unis ont vécu dans un tel système, pendant plus de 60 ans.

    Séparation de la banque de détail et de <st1:personname productid="la Banque" w:st="on">la Banque</st1:personname> d’investissement. A chacun son métier. Regarder les plus grosses catastrophes en France se sont les banques mutualistes, qui ont voulut imiter les autres en devenant des banques « Universelle »

    Questions :

    Cela a –t-il un instant limité le capitalisme américain ?

    La concurrence internationale a elle profité de cet « distorsion de concurrence »  pour mieux s’implanter aux Etats-Unis ?

    Et je pourrais énumérer ainsi d’autres questions. Par contre les experts ne manquent pas de dire qu’une des raisons de cette crise, c’est la suppression par M. Clinton de ce « Glass Steagal Act ». A méditer.
    Mais je voudrais venir aussi sur l’exemple de M. Touati (comment spéculer pour tous les téléspectateurs).  Cet exemple si on le décortique un peu (le journaliste présent – dont je pense c’est son travail- et aussi les autres intervenants) démontre justement le thème de l’émission.

    M. Touati explique qu’il suffit de vendre du $ le matin et acheter de l’Euro pour empocher le soir un différentiel de 1%.
    - d’abord 1% sur l’année, quand même,

    - en plus vendre du $ fait baisser toutes choses égale par ailleurs la devise et monter l’autre, en l’occurrence l’euro.

    Arrêtons nous la dessus : C’est la que le trader prend le risque, comment va évoluer cette devise dans la journée (regarder,  souvent plus de 1% par jour). Il joue une devise contre une autre, une économie contre une autre………Si vous n’appelez pas cela spéculation, je ne comprends plus. Cette opération à même un nom, et était étudier pour les effets qu’elle engendre ( au Japon dans les années 90-2000).
    Le profit du trader se fait contre l’économie. Il n’est pas seulement la donnée d’ajustement nécessaire. C’est cela que l’ont veut nous faire croire, pour cacher le véritable problème : Le pouvoir actionnarial.

    J’aime regarder tout les C dans l’air pour m’instruire, apprendre, m’informer, mais celui la me laisse perplexe. Si tout les C dans l’air sont préparé ainsi, que puis-je en retenir ?

    Oui le journaliste ne peut laisser dire n’importe quoi dans son émission, il est finalement le garant. C’est lui qui crédibilise d’une certaine façon l’information. La cela ne fut pas fait.
    On oublie trop dans cette crise, que les journalistes économiques y ont une grande part de responsabilité.

    Faudrait pas comme les Banquiers, l’oublier.
    Faut aller voir ce forum, lire ce que les gens pensent, je ne lacherais pas.

     

    Forum de cette émission 


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