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    Analyse Volatilité

     

    Implicite

    Historique

    Analyse Histo

    Volatilité de l'indice

    27,58%

    20,47%

    en dessous Mo9

    Plus haut annuel

    50,19%

    44,04%

    écart

    -36,95%

    Plus bas annuel

    27,28%

    20,39%

    écart Max

    116,02%

    Moyenne annuelle

    37,94%

    32,46%

    Analyse Implicite

    vol Mo9

    28,66%

    22,77%

    en dessous Mo9

    vol Mo20

    29,50%

    24,14%

    Vol H.Mo

    20,69%

    Vol longue 200

    41,85%

    43,32%

    Vol H.Mo

    24,34%

    Vol courte 400

    32,99%

    33,20%

    Vol I.Mo

    22,22%

    Analyse Volatilité Intraday

    Vol intraday

    16,06%

    12,27%

     

     

    Plus haut annuel

    121,70%

    22,02%

     

     

    Plus bas annuel

    -0,70%

    9,16%

     

     

    Moyenne annuelle

    34,18%

    15,02%

     

     

     


    Mon indicateur synthétique baisse fortement à 58% ( mais reste positif , 76 % semaine n-1 79% n-2 ) .

    <st1:personname productid="la Mo" w:st="on">La Mo</st1:personname>9 courte baisse légèrement.

    Les Vol aucun changement notable sur la semaine.

    Le Cac évolue toujours, dans un couloir ( il consolide borne haute 3380-3340 – en fonction des instruments choisis, borne basse 3040-3180 ) sa sortie sera violente et forte.

    Les bornes évoluent légèrement

    La préférence pour l’analyse boursière et une sortie par le haut vers les 3400, quoique les indicateurs journaliers deviennent négatifs, méfiance.

    Position : Toujours vendeurs, je ne Trade pas sur courte période.


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  • Un tremblement de terre.
    Regardez bien ce graphique. Il illustre aussi une des idées du « Libéralisme », la destruction créatrice. La grande force du « Capitalisme » et sa force a repartir de l’avant (c’est la pensée dominante, et on peut en débattre). Ce graphique peut aussi donner « raison » à ceux qui dise que les « Krach » sont de plus en plus destructeurs.

    La baisse du prix des actifs a fait partir en fumée 1,3 trillion de dollars de richesse des ménages au premier trimestre. Et depuis le troisième trimestre 2007, ce sont près de 14 trillions de dollars de richesse qui ont été détruits, l’équivalent de quasiment 100 % du PIB américain !

     

    Il donne aussi des indications pour la suite.

    Ce graphique montre l’impact de la crise sur la richesse des américains, mais aussi le changement des ménages américains, concernant leur façon de vivre.

    Le taux d’épargne est le révélateur (Subit ?).

    Les effets du stimulus budgétaire dissipés, et parce que la remontée récente du pétrole va peser sur le pouvoir d’achat, en plus des effets déjà négatifs de la montée du chômage et de la baisse des prix d’actifs, le risque de rechute est non négligeable.
    Même en retenant les hypothèses basses des effets richesse, l’impact négatif sur la demande des ménages, passé et à venir, est énorme.

    La remontée du taux d’épargne ( cela pèsera aussi sur les taux, une pression à la baisse)  ne fait que commencer. Et elle freinera la consommation, donc la croissance, donc……



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  • La forte remontée des taux longs américains n’est pas forcément inquiétante.

    Hausse des taux longs américains 

     



     

    13/06/2009

     

    Jour

    10 ans

    spread

    France

    0,48

    3,99

    3,51

    Etats-Unis

    0,18

    3,85

    3,67

     

     

     

     

     

    26/12/2008

     

    Jour

    10 ans

    spread

    France

    1,95

    3,41

    1,46

    Etats-Unis

    0,06

    2,18

    2,12

     Elle contribue à la pentification de la courbe des taux, usuellement un signal avancé de reprise aux Etats-Unis.
    La Courbe des taux

     

     

    On voit bien que le spread a fortement augmenté, il passe pour les US de <st1:metricconverter productid="2.12 a" w:st="on">2.12 a</st1:metricconverter> 3.67 soit plus 1.55.

    En temps normal, cela signifie clairement « reprise économique », mais la l’augmentation « énorme » de l’offre des titres publics (déficits oblige) fait mécaniquement augmenté les taux longs.
    Finances publiques 

    La question de Combien ? Pour la quasi unanimité des économistes entre 1 et 2 points.
    Il y a donc peut être une légère amélioration.

    C’est je pense un des indicateurs les plus important à suivre.
    La pentification de la courbe des taux est engagée

    La reprise n’est pas encore là : elle ne fait que se rapprocher.

    La pentification de la courbe des taux ne dit rien de plus.



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  • Courbes des taux :

    Autre appellation : « Structure par termes des taux d’intérêt ».

    C’est la relation qui unit, à une date précise, le  taux (actuariel) interne de rendement d’une obligation à sa maturité (ou à sa  duration).

     Cette relation peut prendre quatre formes.

    - La courbe croissante est appelée « normale » parce qu’elle correspond à la logique : plus la durée de vie de l’obligation est longue, plus son taux actuariel doit être élevé car il doit intégrer une  prime de liquidité.

    - La courbe décroissante, souvent appelée « anormale » ou « inversée » correspond à une situation dans laquelle les taux courts sont plus élevés que les taux longs. Malgré son illogisme apparent, cette forme est liée aux anticipations sur les taux à venir.

    - La courbe en cloche représente une situation « normale » sur un premier segment de maturités et une situation « anormale » sur les maturités très éloignées. Elle provient des anticipations sur les taux à venir.

    - Par contre, une courbe plate, dans laquelle les taux  ne varient pas ou très peu selon les maturités, ne reflète pas des anticipations mais représente seulement une situation de transition entre une courbe croissante et une courbe décroissante.

    La courbe des taux est calculée à une date précise. Le taux de rendement interne est  celui qui ressort du cours des emprunts d’Etat (obligations sans risque de signature). Si le marché en possède, on utilise de préférence des obligations « zéro coupon »  (en France, les OAT démembrées).

    La courbe des taux est un instrument fondamental pour la prévision car elle reflète les anticipations (momentanées) des intervenants.

    1. La prévision sur les taux futurs : l’écart entre les taux longs et courts  (spread) est déterminé par les anticipations sur l’évolution des taux courts.

    Les taux observés permettent de déduire les taux futurs implicites, c’est à dire les anticipations relatives aux taux qui prévaudront dans le futur.

    2. La prévision de l’inflation : l’augmentation des anticipations inflationnistes se traduit par un redressement de la courbe des taux.

    3. La prévision de l’activité : l’analyse sur longue période permet de dire que le spread peut être utilisé comme indicateur avancé de la croissance.

    Il faut noter que l’influence de la politique d’intervention des autorités monétaires, sur la courbe des taux, se limite en général aux taux à court terme et de plus en plus aux seuls taux d’intervention de <st1:personname productid="la Banque" w:st="on">la Banque</st1:personname> de France ( taux directeurs).

     

    Clairement cela signifie que le spread donne une indication très importante.

    Quand il augmente il permet de dire que l’inflation future est en train d’augmenter, donc que les taux courts Vont augmenter et que la croissance Va augmenter.


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